Du vêtement au tatouage connectés -1

Plus de possibilités avec toujours moins de matériel : voilà l’un des enjeux de l’innovation technologique. Les marques, les ingénieurs et les cabinets d’expertise tels qu’ABI Research, compagnie américaine calée sur les nouvelles technologies et leur devenir sont sur le coup. Chez Web Omega, agence de création de sites web et de référencement Google, on est à l’affût du progrès dans des domaines variés. Aujourd’hui, on se penche sur les vêtements connectés, et même, sur les tatouages du genre.

Montre Apple connectée.

https://www.flickr.com/photos/mightykenny/

Explosion à venir des vêtements intelligents

Jusqu’à présent, les premiers bénéficiaires de vêtements connectés à la pointe de la technologie sont les sportifs professionnels. Déjà parce qu’ils ont les moyens de s’offrir un accoutrement intelligent, puis parce que la technologie affine l’analyse de leurs performances. C’est ainsi que les footballeurs, rugbymen ou encore cyclistes réalisent leurs entraînements affublés de tee-shirts à capteurs intégrés, capables de récolter des données telles que la distance exacte parcourue, la situation géographique du parcours ou encore les rythmes cardiaque et respiratoire ainsi que le nombre de calories brûlées.

Dans un avenir proche, ces vêtements intelligents devraient s’étendre à monsieur (presque) Tout-le-Monde. ABI Research planifie un taux de croissance annuel de ce segment de l’ordre de 46 à 48 % jusqu’en 2021*.

Fun mais aussi utile

Le cabinet d’expertise ABI Research œuvre de manière prospective au développement potentiel des vêtements connectés. Leurs études concernent notamment les domaines de la sécurité des travailleurs, du personnel de santé, du suivi des personnes âgées, du suivi de la santé des enfants ou encore – plus ludique – le secteur du jeu interactif. Pousser la recherche dans ce sens est plutôt malin de la part des marques pourvoyeuses de ces gadgets au devenir utile, puisque cette projection permet d’agrandir un marché encore restreint.

En dehors des montres et bracelets connectés (marché en hausse de près de 70 % au premier trimestre 2016*), on possède encore peu de babioles très intelligentes. Tout l’enjeu sera de créer des produits pratiques, durables et à la mode pour lesquels les consommateurs seront prêts à alléger leur porte-monnaie. Pour cela, des accords d’intégration entre fournisseurs IT et créateurs de vêtements devront être scellés. Ralph Lauren est l’un des premiers sur le créneau et propose son fameux polo pour 300 euros.

Mais on a encore mieux à vous soumettre (Google, Levi’s et tatouages au menu), alors restez connecté à la page Facebook de Web Omega !

Parmi les sources :
http://www.zdnet.fr/actualites/vetements-connectes-46-de-croissance-par-an-jusqu-en-2021-39837798.htm
http://www.zdnet.fr/actualites/idc-voit-un-marche-des-wearables-en-hausse-39836966.htm

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