Nouveau critère SEO : les émotions ?

On appelle ça des applications de services cognitifs. Microsoft se penche, par exemple, sur la question. Il s’agirait de personnaliser certains éléments sur le téléphone mobile en fonction des émotions détectées. Détectées comment ? Via l’objectif frontal du smartphone, pardi !

Visage de femme avec les couleurs de Google dans l’œil.

https://pixabay.com/fr/users/geralt-9301/

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Contre la « fake news », Google envoie du concret

Dans le feuilleton « combat contre la fake news » sur le web, entamé en novembre 2016, on a encore du nouveau à vous mettre sous la dent. La semaine passée, on évoquait la « News Integrity Initiative », projet de recherche et de réflexion lancé par Facebook et suivi par plus d’une vingtaine de partenaires. Quasiment dans le même temps, Google a balancé du concret dans le mouvement anti-désinformation sur internet avec la possibilité de voir, dès l’affichage des résultats d’une recherche, l’état de fiabilité de l’information proposée.

Capture d'écran du communiqué de presse de Google. Lien au bas de l'article.

Capture d’écran du communiqué de presse de Google. Lien au bas de l’article.

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Les acteurs du web contre la désinformation

Sur le blog du créateur de sites web Web Omega, on a plusieurs fois évoqué le combat de certains acteurs d’internet contre les « fake news » (la fausse info). Rattrapage express pour les curieux ici. Et figurez-vous que ce mouvement contre la désinformation digitale, initié mi-novembre par Facebook et Google et déjà matérialisé par le consortium CrossCheck, se poursuit.

Page Facebook.

https://pixabay.com/fr/users/Simon-3/

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La chasse aux « fake news » est lancée -2

Comme vu mardi dans cet article, plusieurs acteurs majeurs du web – dont Facebook – sortent une artillerie de poids pour lutter contre la désinformation en ligne. Ce n’est pas nous, créateurs de contenus et spécialistes du référencement, qui allons nous en plaindre. Au contraire. Épurer le flot d’infos qui circulent sur la Toile et en vérifier les sources paraît indispensable à la bonne évolution des internets. Vous l’aurez compris, nous soutenons cette cause et y participons à notre manière, notamment en nous appuyant sur des articles et études de qualité avérée.

À l’instar de Facebook et de certains médias français et étrangers, Google a dévoilé son plan. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui.

Capture d'écran du communiqué de presse diffusé lundi 6 février sur First Draft News.

Capture d’écran du communiqué de presse diffusé lundi 6 février sur First Draft News.

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La chasse aux « fake news » est lancée -1

Mi-novembre, Facebook et Google s’érigeaient publiquement contre la désinformation digitale (les fake news ou informations mensongères). Ils avaient annoncé, comme ça, qu’ils n’autoriseraient plus les sites ou applications diffusant des informations trompeuses à faire leur promotion via la publicité. Vu le pactole que cela représente pour ces géants américains, on avait le droit de douter de cette déclaration pleine de conscience citoyenne. Mais à ce jour, force est de constater que ces deux piliers du web passent à l’acte. À l’agence web, on a décrypté pour vous ce processus d’apparence complexe, aux multiples ramifications.

Capture d'écran d'une publication Facebook dont on a déroulé l'onglet de droite qui permet de signaler ladite publication.

Capture d’écran d’une publication Facebook dont on a déroulé l’onglet de droite ; lequel permet de signaler ladite publication.

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Intelligence artificielle : « performance historique » de Microsoft

L’intelligence artificielle, raccourcie par les initiales IA, ça nous bote assez à l’agence web. On vous en parlé à plusieurs reprises, notamment pour évoquer les progrès de Google en la matière. Mais cette fois, c’est Microsoft qui fait couler de l’encre. L’éditeur américain a annoncé avoir réalisé une « performance historique ». Rien que ça. Il semblerait que les « bots » de la boîte soient désormais dotés de qualités de reconnaissance vocale dignes de l’oreille humaine… Éléments d’explication.

Logo de Microsoft.

https://www.flickr.com/photos/thomashawk/

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Taxe Youtube rejetée !

Nous vous en parlions la semaine passée à l’agence web : la fiscalité des contenus numériques faisait partie des débats menés à l’Assemblée nationale dans le cadre du nouveau projet de loi de finances pour 2017. Porté par les députés socialistes Karine Berger, Bruno Le Roux et Pierre-Alain Muet, un amendement surnommé « taxe Youtube » proposait de taxer le chiffre d’affaires des ventes et abonnements, des revenus publicitaires ou de parrainage des sites diffusant des vidéos en ligne. Proposition finalement rejetée par l’Assemblée après un vif débat vendredi dernier.

Dailymotion écrit en lettres de styles divers.

https://www.flickr.com/photos/flattr/

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Les vidéos en ligne bientôt taxées ? -2

Le débat sur la fiscalité des contenus numériques est ouvert depuis mercredi 12 octobre. Il s’inscrit dans l’examen du projet de loi de finances 2017 réalisé par la commission des finances de l’Assemblée nationale. Comme nous l’expliquions ici, les députés socialistes Karine Berger, Bruno Le Roux et Pierre-Alain Muet ont déposé un amendement proposant la taxation à hauteur de 2 % des recettes publicitaires des services diffusant des vidéos en ligne. À l’agence web de Nice, on s’est demandé qui cela allait concerner. Et apparemment, c’est un peu flou pour l’instant.

Page YouTube qui ne fonctionne pas.

https://www.flickr.com/photos/nez/

Une taxe pour nourrir le CNC

Que les vidéos diffusées par une plateforme internet soient gratuites ou payantes, si elles sont financées par la publicité et si cela constitue son activité principale, alors bingo : taxe. Au rang des premiers concernés on trouve Youtube, Dailymotion et Vimeo mais aussi Netflix et autres plateformes de vidéos à la demande ou par abonnement.

Pour l’heure, on sait que ces services seront taxés à hauteur de 2 % en fonction de leur chiffre d’affaires des ventes et abonnements OU des revenus publicitaires OU du parrainage. Un barème spécial de 10 % a été pensé pour les sites à « caractère pornographique ou d’incitation à la violence ». On note aussi que l’amendement prévoit un abattement de 66 % concernant les contenus « amateurs ». Mais sait-on précisément qui sont les amateurs ? Pas encore. En tout cas, une franchise visant les revenus publicitaires inférieurs à 100 000 euros devrait être établie.

Seront exonérés les sites de bande-annonce et de promotion de films, ainsi que les « sites de presse » dont la diffusion de vidéos est secondaire. En revanche, qu’en est-il des sites internet des télévisions…?

Le produit de la taxe a pour but d’être reversé au Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). L’une des missions de l’établissement est de financer les créateurs et de réguler les marchés du cinéma et de l’audiovisuel.

Youtube et la mise en relation des marques & créateurs de contenus

Pendant ce temps-là, Google et son acquisition florissante de 2006, Youtube, continuent leur bonhomme de chemin. Youtube a récemment racheté FameBit, une entreprise spécialisée dans le marketing numérique.

Son rôle principal est de mettre en relation les créateurs de contenus en quête de financements et les marques et entreprises à la recherche de vecteurs de communication. FameBit les réunit sur une plateforme – ou place de marché – permettant de négocier des deals de placements de produit, de campagnes promotionnelles ou encore de publications sponsorisées.
Vers plus de revenus publicitaires pour plus de taxes ?

Parmi les sources :

http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/0211382148561-budget-des-deputes-veulent-instaurer-une-taxe-youtube-2034231.php
http://www.leparisien.fr/economie/publicite-en-ligne-bientot-une-taxe-youtube-12-10-2016-6197091.php
http://www.economie.gouv.fr/files/plf2014-essentiel.pdf
http://www.zdnet.fr/actualites/marketing-numerique-youtube-acquiert-famebit-39843176.htm
http://www.cnc.fr/web/fr/qu-est-ce-que-le-cnc
http://www.impots.gouv.fr/portal/dgi/public/professionnels.impot?pageId=prof_impot_societes&typePage=cpr02&sfid=501&espId=2&communaute=2&impot=IS

Les vidéos en ligne bientôt taxées ? -1

À chaque nouveau projet de loi de finances ses nouveaux tuyaux. Enfin, nouveau, pas tant que ça. La commission des finances de l’Assemblée se réunissait mercredi 12 octobre pour entamer les pourparlers concernant la fameuse loi. Au cœur du débat, la fiscalité des contenus numériques et leur taxation. Si en 2010, le sénateur UMP Philippe Marini avait déjà proposé deux amendements (rejetés) dans ce sens, en 2016, ce sont les députés socialistes Karine Berger, Bruno Le Roux et Pierre-Alain Muet qui s’en chargent. En notre qualité d’agence de création de sites et de contenus web, nous observons ce manège politico-financier avec grand intérêt.

YouTube inscrit sur une pellicule de cinéma.

https://pixabay.com/fr/users/geralt-9301/

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Du vêtement au tatouage connectés -2

Des vêtements intelligents destinés aux personnes âgées, aux travailleurs ou encore aux enfants, c’est ce sur quoi planche le cabinet d’analyse américain ABI Research. Marques de vêtement et ingénieurs travaillent sur des textiles et accessoires connectés plus abordables que ceux réservés aux sportifs de haut niveau. À l’agence web Web Omega, ça nous a rendu curieux. Nous avons eu envie de vous en dire un peu plus à ce propos.

Veste en jean Levi's.

https://www.flickr.com/photos/brizzlebornandbred/

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Du vêtement au tatouage connectés -1

Plus de possibilités avec toujours moins de matériel : voilà l’un des enjeux de l’innovation technologique. Les marques, les ingénieurs et les cabinets d’expertise tels qu’ABI Research, compagnie américaine calée sur les nouvelles technologies et leur devenir sont sur le coup. Chez Web Omega, agence de création de sites web et de référencement Google, on est à l’affût du progrès dans des domaines variés. Aujourd’hui, on se penche sur les vêtements connectés, et même, sur les tatouages du genre.

Montre Apple connectée.

https://www.flickr.com/photos/mightykenny/

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Et le robot créa sa musique

On peut dire « sa » musique, parce qu’en effet, un humain s’y serait pris autrement. De qui parle-t-on ? De l’intelligence artificielle de Google et d’un de ses derniers exploits. Si vous avez déjà jeté un œil au blog de notre agence web, vous savez que nous sommes experts en référencement sur Google et que nous nous intéressons de près à l’actualité du géant de Mountain View.

Dessin d'un robot tenant une fleur dans sa main.

https://pixabay.com/fr/users/bamenny-2092731/

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La tortue européenne rattrape le lièvre Google

Google s’entête dans un leitmotiv qui pourrait bien, à force, ne plus servir de pare-feu contre les autorités européennes : « Nous respectons la législation de chacun des pays ». La fiscalité française semble pourtant bien décidée à trouver à redire à ce discours et de temps en temps, les enquêteurs sortent de leurs bureaux pour une opération d’envergure. Quels sont les enjeux de la perquisition du 24 mai dernier dans les locaux de Google France ? On s’est posé la question à l’agence web Web Omega.

Montage du logo Google derrière des barreaux de prison.

Google en prison !

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Google, modérateur de publicité 2/2

À l’agence de création de site web Web Omega, on s’intéresse à Google et à ses prises de position quant à la diffusion de publicités. Pour vous mettre à jour, jetez un œil à la première partie de cet article.

Un ordinateur portable affichant la page d'accueil de Google.

https://pixabay.com/fr/users/ChristianHoppe-377053/

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Google, modérateur de publicité 1/2

Google aimerait limiter la diffusion de publicités sur le web. Cela vous étonne ? Et pourtant, le géant d’Internet dit être en pourparlers avec des éditeurs de contenu afin d’établir une charte de ce qui est autorisé ou pas, en terme de publicités ciblées et intrusives. Puisqu’une grande partie de notre travail, à l’agence web de Nice, consiste à optimiser le référencement Google des sites de nos clients, nous nous intéressons à l’évolution du moteur de recherche.

Page d'accueil Google

https://pixabay.com/fr/users/422737-422737/

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L’intelligence artificielle, toujours plus proche de l’homme 2/2

Dans la première partie de cet article, votre agence web spécialisée dans la création de sites e-commerces s’est penchée sur le « deep learning ».

Il s’agit de comprendre comment AlphaGo a appris à jouer. Mieux, il s’agit de comprendre comment il est devenu un expert en jeu de go. Rappelons que l’algorithme de Google est désormais capable de vaincre les plus grands spécialistes en la matière. Pour cela, en plus de la technique de l’apprentissage profond, il a dû intégrer celle de la « recherche Monte-Carlo » et du « big data ».

Représentation du cerveau de l'homme.

https://www.flickr.com/photos/healthblog/

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L’intelligence artificielle, toujours plus proche de l’homme 1/2

Vous souvenez-vous qu’il y a peu, on vous racontait comment AlphaGo, l’algorithme de Google, avait réussi à vaincre le champion européen du jeu de go ? Eh bien l’engin a remis ça, mais cette fois contre le numéro trois mondial de jeu de go, Lee Sedol. En tant qu’agence de création de sites Internet curieuse des nouvelles technologies, Web Omega revient sur cet exploit daté du 15 mars.

Les faits

Score final : 4 à 1 pour AlphaGo. Le Sud-coréen, classé 9e dan (plus haut niveau), a tout de même remporté une partie après plusieurs heures de bataille. Mais AlphaGo s’est vu décerner le titre de Grand Maître du go et s’est classé devant Lee Sedol au ranking mondial. Tout cela grâce aux techniques hautement sophistiquées du « deep learning » et du « Monte-Carlo ».

Jeu de go.

https://www.flickr.com/photos/julienr2/

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Amazon se penche sur le « selfie-pass »

Envoyer un selfie pour valider un achat sur Internet, c’est ce qu’Amazon aimerait proposer à ses clients. En sa qualité d’agence de création de sites e-commerces, Web Omega s’intéresse à cette volonté d’innovation du géant de la vente en ligne. Ce moyen, s’il est validé, pourrait influer sur la création de sites web.

À quoi servirait le selfie ?

Pour l’instant, Amazon en est au stade de la demande de brevet auprès des autorités américaines compétentes en la matière. L’objectif : développer un système de paiement par reconnaissance faciale. La plateforme de commerce en ligne part du principe que les mots de passe envoyés par mail ou SMS peuvent aisément être subtilisés. Alors qu’un visage préenregistré, capable d’afficher des mimiques précises sur commande, c’est plus compliqué à voler.

Une femme portant des lunettes de soleil réalise un selfie.

https://pixabay.com/fr/users/JudaM-1486966/

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Internet, une forme de démocratie ? 2/2

Dans son dernier article, votre agence de création de sites web réfléchissait à la manière dont Internet s’apparente à une démocratie. Nous évoquions les outils et technologies d’Internet qui permettent aux individus d’être en contact. Une réflexion qui conduit logiquement à…Google !

Ce moteur de recherche offre, d’une certaine manière, une infrastructure technique à cette démocratie. Il permet l’existence de l’auto-organisation et de la méritocratie entre individus engagés dans l’échange, la communication et l’organisation des coopérations. Cela passe notamment par le page ranking, une invention qui permet de classer l’information sur une base méritocratique.

Groupe de gens dessinés devant une carte du monde recouverte de données transitant par Internet.

https://pixabay.com/fr/users/PeteLinforth-202249/

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Internet, une forme de démocratie ? 1/2

Puisque Web Omega est une agence de création de sites web, mais aussi une agence de référencement Google, son équipe rédactionnelle s’est demandé dans quel genre de système elle évolue. Certains sociologues, comme Dominique Cardon, ont pensé l’Internet comme une forme de démocratie. Alors nous nous sommes penchés sur ce vaste sujet pour tenter d’en sortir quelques points-clés.

Il existe différentes définitions de la démocratie. La plus restreinte concerne la forme représentative. C’est celle que l’on a tous a priori en tête. Elle correspond aux élections, à la désignation des gouvernants et des partis politiques. Et Internet n’a pas grand chose à voir avec cette définition-là.

Globe terrestre sur lequel est écrit démocratie en anglais.

https://pixabay.com/fr/users/geralt-9301/

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J’ai commandé des pizzas sur Facebook

Facebook innove toujours plus. Son dernier objectif en date : concurrencer l’App Store d’Apple, rien que ça. Votre agence web Web Omega se passionne pour les nouveautés technologiques. Alors son équipe rédactionnelle, chargée du référencement sur Google, a glané quelques informations sur le sujet.

"Facebook" écrit en blanc sur un fond bleu.

https://pixabay.com/fr/users/Simon-3/

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Quand le robot gagne au jeu de go

Il s’agit d’une première mondiale. Un ordinateur a réussi à battre le champion européen de go, le Chinois Fan Hui, sur un score écrasant de cinq victoires à zéro. Votre agence de création de site web s’est intéressée à ce coup de maître.

En termes d’intelligence artificielle, cela marque une étape historique, car c’était le seul jeu de réflexion qu’un ordinateur n’était pas parvenu à déjouer. Les chercheurs de ce domaine ont eu beau plancher sur le sujet depuis plusieurs décennies, c’est Google qui a fait la différence.

Un plateau de jeu de go.


https://www.flickr.com/photos/zigazou76/

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YouTube se met à la réalité virtuelle

Les images appréciables à 360 degrés éclosent sur le net et les applis ! Et ce genre d’innovations technologiques, votre agence de création de site web en est tout à fait friande. C’est pourquoi, aujourd’hui, Web Omega se penche sur la dernière pépite proposée par YouTube : des vidéos d’animation immersives à base de réalité virtuelle.

Pour ceux qui ne le sauraient pas, la réalité virtuelle permet de vivre une expérience sensorielle dans un monde créé numériquement. Peut-être vous êtes-vous déjà amusé avec les vidéos de Discovery VR, dans lesquelles vous pouvez choisir votre angle de vue. Récemment, celle tournée et produite par Eurosport, en collaboration avec l’équipe Discovery VR, a fait grand bruit. On y voit le quadruple champion du monde américain de ski alpin Bode Miller dévaler une piste de Beaver Creek (station de ski du Colorado, États-Unis).

Logo du site de vidéos en ligne Youtube.

https://www.flickr.com/photos/23963573@N08/

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Les twittos pas contents

Mardi 5 janvier, la twittosphère a basculé. Jack Dorsey, PDG du réseau social Twitter, a confirmé que son entreprise envisage de rendre obsolète la sacro-sainte limite des 140 caractères par message. Votre agence de référencement Google, friande des infos et potins du web, s’est forcément penchée sur le sujet.

Pour l’heure, le projet intitulé « Au-delà de 140 » est en phase de test par le groupe à l’oisillon bleu. Mais la levée de boucliers des aficionados est déjà entamée.

"Twitter" écrit en bleu entouré de son logo : un oiseau bleu.

https://pixabay.com/fr/users/habergibitv-366482/

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Pourquoi utiliser le référencement naturel ?

Dans un premier temps, qu’est-ce que le référencement ? Il s’agit de l’ensemble des méthodes utilisées pour améliorer la position de votre site internet, qu’on nomme S.E.O. pour Search Engine Optimization.

Cela s’appuie sur le nouvel algorithme de Google appelé le Penguin. Cet algorithme est modifié régulièrement, ce qui transforme le travail de référencement en science de l’e-communication.

Logo Google sur un mur avec quelques néons.

https://www.flickr.com/photos/scobleizer/

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Google va bientôt répondre à vos mails

Google semble à nouveau avoir trouvé « la » réponse personnalisée que vous attendiez sans le savoir. Web Omega, votre agence de référencement, s’est forcément penchée sur la nouveauté avec intérêt. Mardi 3 novembre, la firme californienne a annoncé son intention de proposer à ses fidèles internautes une fonction intitulée « Smart Reply System ».

Vous la trouverez dans votre messagerie Inbox, version alternative de Gmail inaugurée l’an dernier. Il faudra être patient parce qu’au départ – c’est-à-dire dans le courant de la semaine – ce gadget bourré d’intelligence artificielle ne sera disponible qu’en anglais, pour Android et IOS.

Deux smartphones qui utilisent des applications Google.

https://www.flickr.com/photos/bestboyzde/

L’idée, c’est de se faciliter la vie. Pourquoi répondre soi-même à ses mails sur smartphone, dont le clavier est nettement moins pratique que celui d’un ordinateur, et lorsqu’on est en déplacement ?
Grâce à ce système innovant, Google analysera l’e-mail en question et estimera si sa fonction « Smart Reply » est capable d’y apporter une réponse courte et pertinente. Il vous proposera ensuite trois messages aux tournures simples et naturelles en reproduisant votre style, scruté au préalable. Il vous suffira de cliquer sur celui qui convient le mieux et, au besoin, d’y ajouter un complément.

Tout ceci repose sur le travail de deux réseaux neuronaux artificiels qui capteront le ton de la discussion, sans qu’aucune intervention humaine ne soit indispensable. Google explique que ces machines sont pourvues d’une technique appelée « apprentissage séquence par séquence ». Cela signifie que le système est évolutif, il apprend à s’adapter au fur et à mesure. Падшие женщины, а мы других и не ищем, ведь всё, что нам нужно сегодня для отдыха – парочка путан. И вот, аппетитные индивидуалки Кирова https://bordelya.net/ и симпатичные проститутки прямо на твоём мониторе, даже далеко ходить не надо.

Vous vous verrez donc proposer un « Désolé, ça ne va pas être possible pour moi » lorsqu’il s’agit d’une invitation, ou encore un « Je vais voir ce que je peux trouver là-dessus », s’il s’agit d’un sujet à investiguer. Vivement la version française !

OpenStreetMap, une alternative à Google Maps

Logo de la carte openstreetmap

Il existe une multitude de cartes sur internet : les cartes IGN (Institut national de l’information Géographique et Forestière) consultables sur Géoportail.gouv.fr, les cartes géologiques pour étudier les sédiments, les cartes internationales, etc. Le service le plus connu et utilisé est Google Maps.

Cependant, aucun service de cartographie n’est parfait.

L’agence web niçoise Web Omega vous présente le projet OpenStreetMap, La carte coopérative libre.

OpenStreetMap (OSM) est un projet de cartographie libre né en 2004 où tout internaute peut contribuer à compléter les fonds de cartes, soit en diffusant des tracés GPS, ou en éditant la carte numérique depuis son ordinateur.

Les avantages d’utiliser OSM sont multiples :

  • La possibilité de choisir le calque de son choix parmi 5 disponibles.
  • Les cartes sont très détaillées et à jour (zones de travaux, passages piétons, sens de circulation, feux tricolores, etc.).
  • Possibilité de connaitre l’itinéraire à suivre pour aller d’un point A à un point B et de choisir le moyen de transport.
  • Libre de droit : vous pouvez utiliser ces cartes comme bon vous semble, à condition de créditer le projet.
  • La modification de la carte prend effet au bout d’une heure maximum (il est recommandé de détailler vos modifications afin d’accélérer la validation de celle-ci)
  • Le chargement de la carte est très rapide (peut varier selon votre connexion internet

Cependant, elle présente quelques inconvénients :

  • Pas de vue 3D
  • Ne propose pas de calque satellite.
  • Ne permet pas d’afficher la circulation en temps réel
Capture d'écran de la ville de Nice avec Openstreetmap

La ville de Nice en plein écran avec OpenStreetMap. (Crédit : Openstreetmap)

Se pose alors la question de savoir quel est le meilleur service de cartographie ? Difficile de répondre car chaque service présente ses propres inconvénients et avantages. Le choix du service de cartographie devra répondre au mieux aux besoins de l’internaute.

OpenStreetMap propose des cartes très précises (bien plus précises que tout autre service de cartographie), mais possède un éventail de possibilités plus réduit que Google Maps (Street view par exemple).

Vous pouvez essayer le site en suivant ce lien : https://www.openstreetmap.org.

яндекс

Vers un internet plus rapide grâce à Google ?

Ce n’est pas un secret, Google mène des recherches sur tous les fronts, médecine, télévision connectée, etc. Étant le leader mondial des moteurs de recherches, Google a cependant une envie très forte : rendre internet plus rapide. Web Omega, l’agence web de Nice, vous parle du protocole QUIC qui permet d’accélérer les connexions sur internet.

Photo du logo Google sur un mur

https://www.flickr.com/photos/carlosluna/

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Google sanctionne les sites non-responsive

À l’heure actuelle, l’utilisation de smartphones est devenue essentielle pour quasiment tout le monde. Il est donc nécessaire de réfléchir à la création de sites web adaptés pour mobile. Web Omega, l’agence web niçoise, vous explique comment avoir un site optimisé pour les téléphones et les risques pour les sites qui ne le sont pas.

4 largeurs possible d'un site responsive

https://www.flickr.com/photos/69797234@N06/

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Google I/O, le résumé du 29 mai 2/2

Vous avez pu découvrir récemment les dernières nouveautés présentées par Google lors de sa conférence Google I/O. Web Omega, l’agence web spécialisée dans le référencement internet, continue avec vous ce résumé de Google I/O du 29 mai.

Google I/O

https://www.flickr.com/photos/johnniewalker/

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Google I/O, le résumé du 29 mai 1/2

Au cours de sa conférence annuelle, Google a annoncé beaucoup de nouveautés à venir. L’agence web Web Omega, spécialisée dans la création de sites internet, vous propose un résumé de la deuxième journée de conférence. Après avoir vu les nouveautés présentées le 28 mai, passons à celles annoncées le 29, et elles sont nombreuses.

Conférence Google I/O

https://www.flickr.com/photos/robertnyman/

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Google I/O le résumé du 28 mai 2/2

Après avoir abordé les sujets traitants d’Android M ou Google Photos dans la première partie de l’article, nous reprenons aujourd’hui le résumé de la conférence Google I/O avec différents sujets. L’agence de référencement Web Omega, spécialiste du référencement de sites web, vous en dit plus à propos des nouvelles fonctionnalités de Google Now ainsi que Google Brillo.

Conférence Google I/O

https://www.flickr.com/photos/pestoverde/

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Google I/O le résumé du 28 mai 1/2

Le 28 et 29 mai s’est déroulé la conférence pour développeur Google I/O, organisé par le géant américain. À cette occasion Google a pu nous présenter toutes les nouveautés à venir dans les prochaines semaines. L’agence web Web Omega, experte en création de sites web, vous propose un résumé de ce qu’il s’y est dit.

Conférence de Google I/O

https://www.flickr.com/photos/pestoverde/

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Le Nexus Player, enfin disponible !

Même s’il ne s’agit en réalité pas d’une télévision sous Android, le Nexus Player est un appareil permettant d’avoir accès à l’écosystème Google directement depuis sa télévision. Web Omega, l’agence web de Nice, vous présente ce drôle de gadget.

Photo du boitier de Google, le Nexus Player

https://www.flickr.com/photos/casasroger/

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Google achète vos brevets !

Google est le moteur de recherches numéro un dans le monde, et de très loin. Cependant, cette large avance ne suffit pas au géant américain qui souhaite agrandir son catalogue de brevets. Pour y parvenir, quoi de plus facile que de proposer une plateforme de rachat de brevets ? Web Omega, le spécialiste de la création de sites web, vous donne davantage d’information à ce sujet.

Photo du logo Google

https://www.flickr.com/photos/vsmithuk/

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Nos résultats en référencement – Septembre 2014

Chers lecteurs, aujourd’hui Web Omega, agence web niçoise, a décidé de publier à chaque début de mois un mini rapport (non-exhaustif) de ses résultats de référencement naturel les plus récents.

Quels sont nos clients actuels les plus visibles sur Google au 1er septembre 2014 ?
Nous allons le découvrir maintenant.

Ces résultats ont été établis au 1er septembre 2014, il se peut que le classement ait subi des variations aujourd’hui, nous vous invitons à vérifier sur Google en tapant les mots-clés définis ci-dessous si le cœur vous en dit !

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Google+, un allié pour votre entreprise

Aujourd’hui, rien ne sert de nier l’importance des réseaux sociaux dans notre quotidien, que ce soit dans la vie privée ou dans le cadre professionnel. Cela a d’ailleurs engendré une révolution dans la stratégie de communication des marques et des entreprises. Ils permettent entre autre de promouvoir le lancement d’un produit, faire la publicité pour un évènement ou tout simplement présenter l’activité d’une entreprise.

Logo g+

Aujourd’hui, les réseaux sociaux détiennent une place considérable dans la stratégie de communication d’une entreprise. Les sites dits officiels génèrent moins de trafic que les pages de réseaux sociaux, c’est une des raisons pour laquelle se lancer dans les social media est un plus pour une entreprise. Ils permettent de développer sa notoriété et sa visibilité auprès du public. De ce fait, ils contribuent indirectement à la vente de produits ou de services.

Google+ est le réseau social montant de ces derniers mois. Autrefois dédaignée, la plateforme interactive de Google fait lentement sa place, autant auprès des particuliers que des professionnels. Nous vous proposons de regarder Google+ de plus près et de comprendre pourquoi il est aujourd’hui nécessaire pour les entreprises d’utiliser ce nouveau canal de communication.

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Knowledge Graph et référencement, pour le meilleur !

Enfin ! Enfin un moteur de recherche se met à la place des utilisateurs ! Le Knowledge Graph de Google, bien qu’à ses débuts, a pour objectif de comprendre réellement ce que vous voulez savoir, pour vous donner la réponse la plus pertinente, et plus seulement une liste de liens à farfouiller pour trouver votre réponse. C’est une révolution aussi pour la création site e-commerce, puisqu’il va falloir s’adapter à cette nouveauté, qui concerne essentiellement le référencement site internet.

C’est (bientôt) fini le temps où, derrière votre écran, vous vous décarcassiez la tête pour trouver une combinaison de mots-clefs qui vous permette de trouver la réponse à votre question. Mine de rien, avec les dérives de la recherche basée sur les mots-clefs, chaque internaute s’est transformé en spécialiste du moteur de recherche sans le savoir. Rappelez-vous, la première fois que vous vous êtes mis devant Google, vous avez spontanément posé une question, « qui a réalisé Point Break ? », puis au fur et à mesure de votre pratique, vous avez changé de sémantique pour taper plutôt « point break réalisateur ». Ce qui a eu pour conséquence, pour chercher ne serait-ce qu’un livre quand on a oublié le titre et qu’on ne se rappelle que de détails, de devoir taper et retaper des mots-clefs, lire une page, une autre, retaper de nouveaux mots-clefs. On a cru que ce foutu moteur de recherche était vraiment niais, alors on tapait façon télégramme : « livre léonard de vinci femme tableau ». Pour trouver… rien. On a réessayé les phrases bien construites : « le livre qui parle de la femme qui est censée apparaitre sur le tableau de léonard de vinci ». Depuis peu cela donnait quelque chose (comment a-t-on pu oublier Da Vinci Code ?), même s’il n’y a que le premier résultat qui soit bon. Cela signifie en somme que Google, comme vous, comprend mieux quand vous parlez normalement. Autre avancée remarquable, avant, Google vous proposait des recherches ; maintenant, il vous apporte de vraies réponses. Mais il n’est pas sûr (de lui, de vous) donc il donne le choix grâce au Knowledge Graph.

Si vous possédez un site marchand, cela vous concerne directement puisque vos clients potentiels vont procéder de la même façon que vous pour vous trouver (après tout, vous êtes aussi un client potentiel pour d’autres boutiques en ligne). Pour manifester clairement que vous êtes le meilleur, avez les meilleurs produits, au meilleur prix avec la meilleure livraison, il va falloir le faire comprendre au Knowledge Graph, et c’est un peu différent qu’avant, quand il suffisait de bourrer vos méta-balises avec des mots-clefs. De plus le Knowledge Graph intègre depuis quelques semaines des publicités dans ce nouveau cadre d’information.

De l’obligation d’avoir un profil Google+

Pour les entreprises, les marques et toutes les boutiques en ligne qui n’avaient jusqu’à présent que deux options pour se faire connaître, le référencement naturel ou le payant (Google Adwords), le Knowledge Graph apporte une nuance. Rien qu’une agence web ne puisse faire pour vous, puisqu’il s’agit de créer (si ce n’est pas encore fait) un profil Google+ et de l’optimiser pour le Knowledge Graph. En effet, ce sont en partie les informations que vous renseignez dans ce réseau social qui apparaîtront dans le fameux cadre. C’est plutôt simple à faire, car lorsque vous créez un compte gmail, vous avez d’office un compte G+ joint, et si vous mettez une adresse, des photos et une visite virtuelle, ces informations apparaissent sur Google Map et maintenant également sur le Knowledge Graph. Pour un site marchand, remplir soigneusement toutes ces données est primordial pour offrir à vos clients une carte de visite complète et les inciter à franchir le pas (ou plutôt le clic).

Des résultats plus pertinents pour les utilisateurs

Le Knowledge Graph est capable de distinguer les nuances. C’est là toute son originalité et la révolution qu’il représente. C’est important car en réduisant l’angle de la recherche, Google la rend plus pertinente encore qu’en se basant sur les mots-clefs et le tissage des liens (de façon basique, c’est ce dont il s’agissait avant pour la recherche Google). Le client tape des mots-clefs, Google lui offre plusieurs options de sens, à force de restreindre sa cible le client tombe sur ce qu’il cherche, c’est-à-dire vous !

Des clients mieux ciblés

Autant les utilisateurs trouvent plus facilement ce qu’ils cherchent grâce au Knowledge Graph, autant les e-commerces trouvent de meilleurs visiteurs. Toujours grâce à la capacité de compréhension du Knowledge Graph, un visiteur qui vient sur votre site aura suivi un chemin balisé selon ses souhaits, donc il y a plus de chances qu’il soit satisfait, et devienne un client fidèle.

Des statistiques plus efficientes

Puisque les utilisateurs ont désormais un accès direct à l’information recherchée, les pages qui leur sont proposées sont censées correspondre exactement à ce qu’ils veulent. Il devrait y avoir une incidence sur le taux de rebond, c’est-à-dire quand un internaute quitte votre site après n’avoir consulté qu’une page, ce qui arrivait principalement car cela ne correspondait pas à ce qu’il voulait (recherche trop vague, site qui travaille des mots-clefs larges pour ratisser large). Ce taux devrait réduire car le Knowledge Graph aura épuré les résultats les moins pertinents, donc si l’utilisateur atterrit sur votre site, c’est qu’il doit y trouver un intérêt.

Des mots-clefs plus contextuels

Il y a encore peu, compiler des mots-clefs n’avait pas de sens pour le référencement, puisqu’il fallait surtout trouver les combinaisons de mots les plus tapées. Par exemple, pour un site qui vend des produits de beauté, il y a peu de chance que les internautes tapent « boutique en ligne de produit de beauté » mais plutôt simplement « produit de beauté ». Avec le Knowledge Graph, il va falloir référencer en contextualisant. Il faut se définir de la façon la plus juste possible et éviter les données vagues qui avant pouvaient tout de même ramener des clients (mais qui, on l’a vu, favorisait aussi un fort taux de rebond).

Google recentre ainsi sa principale activité sur l’utilisateur. Ce retour aux sources, qui est sa règle n°1, est une amélioration pratique. Cela permettra par exemple de faciliter le passage aux requêtes orales avec la Google Glass par exemple, ou les téléphones sous Android. À termes, nous allons réellement converser avec Google et obtenir des informations intéressantes.

Quant à la crainte de voir vos clients rester sur le pas de porte virtuel de votre site, elle est infondée. Si vous êtes un site marchand, les visiteurs seront toujours obligés d’entrer pour passer leur commande, créer un compte et payer. Du moins Google n’a pas encore étendu le Knowledge Graph à ce niveau.

Google+ s’allie à YouTube pour un meilleur classement de ses commentaires

Logo Youtube

https://www.flickr.com/photos/zennie62/

 

2013 a représenté une grande étape pour le diffuseur de vidéo YouTube. Racheté en 2006 par Google sans que cela n’ait eu vraiment d’effets sur l’utilisation du site, le système de gestion et d’affichage de commentaires a finalement radicalement changé fin 2013. Parmi les nouvelles fonctionnalités, YouTube intègre la possibilité pour les utilisateurs de voir les commentaires des cercles Google+ et d’avoir des discussions privées grâce à celui-ci. Une nouvelle affiliation, qui dès l’instant de son lancement, a déclenché de nombreuses réactions de la part des internautes sur l’ascension du grand pouvoir de Google dans sa conquête du web. Étant donné l’importance non négligeable de YouTube, estimée à 1 milliard de Youtubers, les utilisateurs dénoncent l’accélération de la montée en puissance de Google+ par cette association.

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Google + est bien en train d’arriver

Il y a encore un an, toute la sphère internet pensait ça :

Pour les non-anglophones : « Arrêtez avec Google+, ça n’arrivera pas! ».

Les raisons qui ont poussé les internautes à rejeter d’emblée Google+ sont d’une part que, niveau réseaux sociaux, on en avait pas mal sous la main, dont un qui est encore et toujours plus que majoritaire en termes d’inscrits et de temps passé dessus (oui, il s’agit de Facebook) ; d’autre part, Google a encore une fois agit, en apparence du moins, en grand bêta naïf : « Allez, s’il-vous-plait, laissez-moi une place au soleil ! ». Et on en a soupé de ce faux-semblant de Google !

Né en 2011, Google+ était donc bien mal parti, sauf que depuis quelques semaines, les compteurs d’inscriptions en ont fait le dauphin de Facebook. En à peine 2 ans d’existence, ce nouveau réseau social est passé de la risée totale à la deuxième place. La rédaction de l’agence web Web Omega lance quelques hypothèses sur ce succès fulgurant.

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Google Analytics, ou comment faire venir et revenir les clients sur votre site

Voici quelques temps qu’à l’agence web Nice Web Omega, nous nous posons des questions sur le géant Google. En tant qu’outil de travail, a fortiori quand on travaille sur internet, il nous sert principalement à rechercher des informations, l’orthographe d’un mot pour la rédaction, une nouveauté dans l’écriture d’un script pour le développement, un tuto pour le graphisme, etc. Mais la société de Mountain View fait tout pour être encore plus qu’un mode d’emploi universel. Nos clients faisant appel à nos services de création de site ou de référencement internet pour gagner de l’argent, nous nous devons de leur fournir les outils les plus efficaces. Google Analytics est l’un d’eux.

Le service d’analyse d’audience proposé par Google n’a pas vu le jour à Mountain View mais à San Diego, chez Urchin Software Corporation. Rachetée par le géant, Urchin a par la même cédé son principal atout, le logiciel Urchin. Celui-ci propose donc de rendre compte quotidiennement, hebdomadairement ou mensuellement du trafic qui transite par un site web. Du temps d’Urchin, cela coûtait 495 $, avec Google Analytics, c’est gratuit.

Les mots clef qu’a tapé l’internaute avant de cliquer sur votre site, combien de temps il y est resté, d’où il était connecté, tout ceci est collecté par quatre petits cookies lâchés par Google Analytics dès que l’utilisateur a ouvert votre page internet, si vous avez souscrit à l’offre. Avant de préciser le travail des cookies, restons un moment sur leurs fonctions. Ils vont chercher certains types d’informations :

  • Comment l’internaute arrive sur votre site : par un moteur de recherche, via une newsletter, par un site partenaire, en ayant tapé directement l’adresse, etc.
  • Quel chemin il parcourt sur votre site : quelles pages il consulte, le temps qu’il reste sur chacune, le chemin qu’il a suivi entre elles, etc.
  • Ce qu’il fait sur votre site : ce qu’il met dans le panier, ce qu’il enlève, ce qu’il achète finalement, ce qu’il met en favori, s’il commente, s’il remplit un formulaire d’inscription, s’il s’inscrit à la newsletter, s’il partage sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.)
  • Qui est votre visiteur : les coordonnées de connexions (pays, ville, adresse), la langue utilisée, etc.

Les cookies en question sont donc actifs dès que l’internaute arrive sur votre page utilisatrice de Google Analytics (sinon, ça ne marche pas). Tant que celui-ci est sur votre site, les cookies accomplissent leur mission de collecte, ils crawlent, un peu comme les Google bots dont on a parlé dans un article précédent, mais indépendamment d’eux. Une fois la page fermée, l’un d’eux s’arrête, puis le deuxième 30 minutes après, le troisième six mois après, le dernier reste actif deux ans.

Une fois les informations collectées, Google Analytics vous délivre des rapports. Un utilisateur bien informé peut désactiver les cookies, afin de naviguer sur le net sans être « fliqué » mais cela n’arrange pas les affaires des e-commerces. En effet, grâce aux informations collectées par ses cookies, Google Analytics peut vous expliquer quels mots-clef mènent à votre site plus facilement, et même quel profil d’internaute vient acheter à coup sûr. C’est ainsi que vous apprenez ce que les internautes ont recherché sur internet avant de tomber sur vous, soit qu’ils vous cherchaient, soit qu’ils cherchaient autre chose et sont tombé sur votre site. Et c’est ainsi que vous devez modifier votre campagne de référencement en fonction de ces données. En tant que spécialiste, notre équipe de référencement travaille chaque jour à améliorer les positions de nos clients avec les indications de logiciels tel que Google Analytics.

Google, gentil maladroit ou méchant déguisé ?

Dans le monde des agences web, et plus particulièrement celles qui traitent de référencement internet, nous en venons un jour ou l’autre, par passion ou obligation, à nous intéresser à nos outils, surtout quand ils sont complexes et fascinants comme le géant Google. Tout comme un chef de cuisine qui souhaite connaître son maraîcher, nous nous posons des questions sur le principal fournisseur d’informations du web.

Voici ce qu’on peut lire sur la page de présentation du moteur de recherche : « La mission de Google : organiser les informations à l’échelle mondiale dans le but de les rendre accessibles et utiles à tous. » Mettre le savoir à la portée de tous, c’est une noble cause qu’il faut saluer et favoriser, mais quel est l’intérêt de la société commerciale ? Google n’est pas une ONG, encore moins une association de bénévoles, elle doit engranger de l’argent pour payer ses employés et surtout développer sa recherche.

Le pouvoir par les livres

Le documentaire :  Le livre selon Google  diffusé récemment sur la chaîne Arte enquête sur Google Books et soulève le fond du problème, la motivation de l’entreprise Google Inc. Quand Google va demander à des bibliothécaires de leur donner accès à leurs livres afin de les scanner, sans piper mot des éventuels droits d’auteurs bafoués, la façon d’agir de la firme est-elle la preuve d’un formidable manque de correction ou d’une naïveté toute aussi importante ? Le jugement rendu en mars 2011 coupe l’herbe sous le pied du géant, décrétant que le copyright empêche la numérisation des livres qui en dépendent. En attendant, 20 000 000 d’ouvrages ont déjà été scannés, fournissant autant de matière à la société pour perfectionner ses systèmes et logiciels (de lecture de l’écriture, de compréhension du langage, du traitement de données, etc.). Tout cela pour améliorer son moteur de recherche. À moins que nous ne soyons les spectateurs de la naissance de l’intelligence artificielle tant de fois imaginée par les artistes, inventeurs, fous des siècles passés.

La guerre ne s’arrêtera pas à cette bataille à demi-perdue. Google poursuit sa mission auto délivrée en contournant la décision du juge Chin. Nous n’en savons pas plus sur les motivations de Larry Page et Sergey Brin, qui se gardent d’expliquer clairement s’ils veulent que tout le monde ait effectivement un accès libre à la connaissance, ou bien que toute la connaissance soit disponible moyennant une certaine somme. Ce n’est pas la même philosophie qui tend derrière ces propositions et cela change tout sur la perception que le public a de ce genre d’entreprise.

En toute honnêteté, nous ne doutons pas vraiment à Web Omega de la bonne volonté des deux fondateurs de la firme, devenues des emblèmes pour bon nombre de passionnés du web qui les suivent régulièrement à chacune de leur publications. Même si leur position dominante nous amène à nous poser des questions sur le géant… Et s’il commençait à disposer d’un trop grand pouvoir ? Et qu’en sera-t-il dans 50 ans, quand les fondateurs pourraient être remplacés par un groupe d’actionnaires moins scrupuleux ? visitez le kamedef.com site suivant

Devant l’ampleur du sujet, notre équipe rédactionnelle a décidé de revenir régulièrement vous apporter des informations sur le géant Google (bon ou vil). Alors selon vous ? Futur 1984 ou bien nouvelle étape de l’évolution humaine en marche ? Dans tous les cas, nous en faisons tous partie, et l’histoire promet d’être passionnante !

Google entend pénaliser les noms de domaine à mots-clefs !

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Google a lancé un nouvel algorithme il y a quelques jours. Objectif ? Lutter contre les noms de domaine à mots-clefs et pénaliser les sites de faible qualité comportant dans leur domaine des mots-clefs.

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